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Equivalence boursière: un plan (presque) sans accroc

Un petit grain de sable risque de saper la riposte du Conseil fédéral à la suppression de l’équivalence boursière par l’Union européenne

La bourse suisse pourrait voir ses volumes d’échanges augmenter dès lundi, lorsque ses homologues européennes n’auront plus le droit de traiter les actions suisses. C’est l’objectif de la riposte activée par le Conseil fédéral. — © GAETAN BALLY/Keystone
La bourse suisse pourrait voir ses volumes d’échanges augmenter dès lundi, lorsque ses homologues européennes n’auront plus le droit de traiter les actions suisses. C’est l’objectif de la riposte activée par le Conseil fédéral. — © GAETAN BALLY/Keystone

Dès lundi, les bourses européennes ne pourront plus proposer le négoce d’actions suisses. C’est la riposte du Conseil fédéral à la suspension de l’équivalence boursière que l’Union européenne accordait jusque-là à SIX, l’opérateur de la bourse suisse. Bruxelles en fait un outil de pression pour encourager la Suisse à signer un accord-cadre. Berne pense s’en tirer en exploitant habilement une faille juridique.

Lire également:  Accord institutionnel: la Suisse demande des clarifications à l'UE

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