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«C'était un homme adorable, mais pas prêt à oublier ses intérêts»

Pascal Couchepin et Jacques Chirac au Sommet d'Athènes en 2003.

«La première fois qu'il était venu à Berne, en 1998, il semblait un peu déçu que nous ne parlions pas tous français, se souvient l'ancien conseiller fédéral Pascal Couchepin. Contrairement à François Mitterrand, il ne s'intéressait pas particulièrement à nos institutions. Il nous trouvait sympathiques, ni plus ni moins. Il considérait comme naturel qu'on l'aide, mais il n'y avait pas forcément de retour d'ascenseur.» Deux ans plus tôt, à Genève, Jacques Chirac avait commis une gaffe restée dans les mémoires: «Qui est monsieur Cotti?» avait-il demandé à propos de celui qui était alors président de la Confédération, Flavio Cotti.

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